l’auteur nous présentait ce groupe de ninjas comme des mercenaires puissants, sans merci et capables des pires exactions. Lors des premiers affrontements entre les ninjas de Konoha (ou des autres villages) et ceux de l’Akatsuki, leur puissance et leur supériorité sont incontestables.
Une fois le choc initial dépassé, on se rend compte qu’ils ne sont pas si forts que ça, à tel point que la plupart sera battu par des ninjas intelligents mais pas forcément ultra-puissants, ce qui donne des combats assez tactiques et pas mauvais du tout…
Ils sont la cible de l’Akatsuki qui va se mettre en chasse et tenter de tous les réunir. Malheureusement, on les voit rarement combattre si ce n’est celui à 8 queues, Bee, et celui à 9 queues, Naruto. On ne sait pas trop pourquoi les autres ont été autant éclipsés alors qu’on nous dit clairement qu’ils font partie des éléments clés du monde des ninjas mais bon… au moins, on voit les monstres en action lors de la grande guerre.
Fini le Naruto bon enfant, positif et où tout semble simple. Alors que les héros ont grandi, le monde a changé. Si les 27 premiers volumes étaient une bonne occasion pour le mangaka de mettre en place son univers, il va utiliser le suivant pour le détruire complètement.
Alors que l’alternance entre récit et narration était clairement bien maîtrisé, on retombe dans quelque chose de très caricatural avec un nombre de combats que tous les lecteurs n’apprécieront pas. Il y a toujours quelques pauses mais elles se font très rares, l’auteur préférant intégrer les éléments de son histoire en plein milieu d’affrontements dantesques. Ils font office de respiration dans une surenchère de techniques qui ne s’arrête jamais.
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